Joseph Badin, fils de Noél et de Marguerite GAGET, naquit le 3 juillet 1781.
En 1802, date de décès de son père Noel, Joseph avait 21 ans et en qualité d'ainé s'occupa de toute la nombreuse famille de 7 enfants.
Dans le testament de Noel, on trouve ;
" le 29 pluviose après midi, l'an IX de la république, par devant moi notaire public à Bourgoin, a comparu Noel BADIN, fermier et propriétaire au lieu dit de Nivolas, actuellement à ST AGNIN, lequel sieur, de sa seule volonté et entendement et en santé, en présenxce de trois témoins ( suit leurs noms ) à fait connaissance de ses dernières volontés.
"donne et lègue la jouissance de la moitié de la ferme à son épouse Marguerite GAGET, donne et lègue à Joseph BADIN, son fils ; sa maison sise à NIVOLAS, joint au levant ; la grande route, au midi ; sa grange, au couchant ; le ruisseau ( ....) "
Dans le bail que Noel signa en 1791, il est précisé que la propriété est composée de prés, bois, chataigneray, jardin et verger le tout pour un contenu d'environ 15 journeaux de 900 toises royales chacune. 1 toise = 6 pieds = 1.949 m arrondi à 2 metres soit une surface totale de
15 x 900 x 1.949 m = 26311 metres.
Joseph décéda le 24 mai 1861, a l'age de 80 ans.
D'après la tradition familiale, un ancêtre a été grognard de Napoléon. Cela ne pouvait être qu'un enfant de Noel. Joseph peût être, ou un autre garçon ? Il conviendrait de faire des recherches dans les archives et registres militaires.
D'après la tradition familiale égalemetn, la famille Badin possédait une auberge relais postal à Nivolas Vermelle. J'ai fait un certain nombre de recherche à ce sujet et j'ai effectivement trouvé dans les archives départementale, un certain Claude Badin, aubergiste qui possèdait des chevaux et s'occupait de transport. Ce relais de poste, je l'ai connu enfant, c'était une imposante batisse, situé juste en face dee établissements Paillet. Toujours, d'après la tradition familiale, ces cousins lointain, furent victime d'un importaznt incendie des granges et connurent de grosses petrtes.
Je pense que la devise de Nivolas Verelle ; " passe s'y mais ne t'y arrête pas" viens de cette époque et concerne le relais postal de l'époque, et cette maxime fait peut être allusion aux sinistres de l'époque. La maxime entière serait ; "au relais auberge de la poste, passe s'y mais ne t'y arrête pas"
Cet article viens de l'encyclopedie en ligne WILKIPEDIA.
"C'est en 1477 sous l'impulsion de Louis XI que furent créés les relais de poste. Les routes sont provisoires et aboutissent aux théâtres d’opérations militaires. Les relais sont espacés d’environ 28 km et sont dirigés par des tenants-poste, ancêtres des maîtres de poste. Les chevaucheurs ne transportent que la seule correspondance du roi.
Louis XII met le service des relais de poste à la disposition des voyageurs en 1506.
Les relais de poste vont se transformer petit à petit en écuries, pour permettre la poursuite de l'acheminement du courrier avec des chevaux frais, en auberges pour la restauration du personnel des Postes et des voyageurs, et en gîtes pour leur hébergement.
Concurrencés par le chemin de fer, les relais de poste ferment officiellement en France en 1870 sous le règne de Napoléon III.
Les relais de poste ont été les ancêtres du transport public d'aujourd'hui et plus particulièrement ont contribué à l'histoire de La Poste."
dimanche 29 juillet 2007
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